L’ASCA | Club à l’honneur dans Karaté Bushido

L’ASCA a été mise à l’honneur dans le magazine Karaté Bushido des mois de juillet / août 2018 en tant que club élite. Dans cette double page, vous pourrez découvrir ce qui fait la spécificité de notre association sportive, dirigée par Frédéric Morin depuis de nombreuses années.

Voici quelques extraits :

« L’Association Sportive de Canne d’Arme Paris XI est l’un des plus anciens et des plus importants clubs français proposant la pratique de la canne de combat et du bâton français. Cette année, l’association fête ses 35 ans d’activité ! »

(…) Présente dès le XIXème siècle, cette discipline (la canne) était à l’origine pratiquée dans les milieux bourgeois français qui souhaitaient pouvoir se défendre dans la rue. La canne était alors un accessoire de mode incontournable, et une arme redoutable. « C’est surtout un sport de distance », explique Frédéric Morin, président de l’association, « la canne permet de toucher de très loin et donc, de rester protégé », poursuit-il (…)

Des fous de technique !

« J’insiste toujours sur la technique, le placement des jambes. Chez nous on est surtout des fous de la technique » explique Frédéric Morin. Les pratiquants sont protégés par un masque d’escrime rembourré et des gants de protection.

(…) La moyenne d’âge des licenciés tourne autour des 30 ans et les femmes aussi se laissent tenter par la canne ou par le bâton, elles représentent environ 30% des pratiquants (…)

… Pour la plupart, les membres de l’ASCA ont été attirés par l’aspect original et traditionnel de la canne de combat et du bâton français plus que pour la self défense. Au sein du club, on met l’accent sur la maîtrise technique et la recherche esthétique de la pratique. Contrairement aux sports d’armes classiques, la canne  de combat et le bâton français sont accessibles rapidement, même aux novices « Dès la première séance, les élèves peuvent manipuler les armes !» assure Frédéric Morin. (…)

L’ambiance

À l’ASCA Paris XI, l’ambiance se veut décontractée et conviviale dans le but de rendre la canne et le bâton de combat accessibles à tous (…)

Aujourd’hui, les 80 licenciés peuvent compter sur les 11 entraineurs diplômés fédéraux ou d’État dont dispose l’association pour assurer les cours. Dans le but de créer de la cohésion, l’ASCA a volontairement refusé de classer les élèves en fonction de leur niveau. « Tout le monde est mélangé, les anciens prennent les nouveaux sous leurs ailes » décrit Frédéric. « On essaye aussi de regrouper les gens autour d’autre chose que le sport ». Pour cela, les membres de l’association se retrouvent régulièrement lors de diners, de soirées ou encore de stages sur plusieurs jours. « Nous sommes tous bénévoles et passionnés » résume Frédéric Morin « Maintenir une bonne ambiance est fondamental pour nous, c’est ce qui fait que les gens restent » (…)